Non classé,  Poser les bases de Ta féminité et de Ta maternité

Je vais bien, tout va bien!…

…Quelles pratiques me permettent la connexion à moi, à la Terre, au vivant?

Hello, me revoilà de nouveau ici pour te partager mes pratiques, celles qui font sens pour moi, et qui pourront trouver écho chez toi… Sens toi libre de te laisser embarquer ou non, de t’en inspirer, de faire tienne cette reconnexion au vivant.

La Nature constitue une grande partie du vivant dont au fil du temps nous nous sommes séparés. Nos habitats, nos modes de vie, notre façon de naître et d’ être au monde, de répondre à nos besoins physiologiques, d’apprentissage… ne sont plus en lien. Et parfois il est difficile de retrouver le fil.

Mon expérience est que reprendre contact avec la Nature peut grandement aider. C’est peut-être bateau et trop évident, ou trop facile… Parfois l’on cherche à faire compliqué alors que la base, celle qui nous donne l’ancrage, la sécurité ce sont les pratiques simples. Et la connexion à la Nature n’est pas si facile à intégrer, souvent et régulièrement, dans notre quotidien.

Je propose ici de t’apporter, un peu, de Nature, par le son et l’image, pour te redonner envie, l’élan, et que tu t’offres par la suite des moments en immersion DANS la Nature.

Mais avant ou en même temps, prends le temps de te ressentir tel-le que tu es. Ici et maintenant.

Le chant de la mer et une méditation guidée

La maternité c’est comme la mer, il y a des vagues successives qui te font avancer, progresser. La maternité est cycle, est attraction / répulsion…

L’on dit souvent que la clef est d’apprendre à naviguer et de suivre ce mouvement, que ce soit le calme ou la tempête. Mais concrètement: comment fait-on??? As-tu déjà appris?

Dans mon monde idéal, celui que j’imagine pour les générations futures, je veux que les enfants, tout petits, apprennent à surfer sur les vagues. D’abord celles de leur intérieur. Apprendre à se connaître, se reconnaître, s’accueillir… Pour mieux surfer sur les vagues de l’extérieur.

Ne plus résister, ni combattre ou se soumettre.

Mais trouver son chemin, connaitre ses besoins, savoir exprimer ses limites, trouver des solutions, demander et offrir avec joie, élan son aide, sa contribution.

Mais avant que nos enfants sachent le faire, je sais que nous, adultes, nous avons à développer ces compétences. Nos enfants apprendrons de nous.

Et moi c’est ma mission, celle que JE me suis donnée.

Je m’adresse aux adultes, aux femmes et aux mères en particulier. Pour qu’elles pratiquent elles même, qu’elles intègrent et développent dans leur quotidien des outils et un bien être profond qui servent de boussole pour tout le reste de la vie.

Alors voici ma contribution du jour: Une méditation guidée avec la mer pour t’accompagner.

L’écologie intérieure, suite!

Pour continuer de te parler de cette belle pratique que j’ai intégrée dans mon quotidien, et qui me permet de transformer mes jugements, pensées négatives ET positives, interprétations… afin que ceux-ci n’interfèrent pas avec ma connexion au vivant en moi et en l’autre, avec la joie d’être avec l’autre…

… je te propose ce mois-ci la suite du processus: L’OBSERVATION: dire, nommer ce que je vois.

« Ah super facile cette étape!! » … Oui en apparence cet exercice est « facile », mais il ne l’est pas tant que ça. Notre façon habituelle de décrire est en fait empreinte, des réactions émotionnelles, les pensées qui nous viennent de notre culture, notre histoire personnelle, notre vision, notre prisme qui est unique. Je reviens à ce dont je t’ai parlé dans le précédent article (ici): c’est notre conditionnement.

Ce n’est ni bien, ni mal de faire appel à notre conditionnement pour décrire ce que l’on voit. Il y a juste un HiQ… Nous avons chacun-une notre prisme. Et il est souvent très difficile de se mettre d’accord sur cette base, car elle est différente toute simplement. Quelle déclenche un processus de qui a raison/tort, vouloir convaincre, chercher à avoir du pouvoir sur… Et ce n’est en général pas joyeux.

Car oui l’intention ici est d’avoir une base commune. exempte d’interprétation, de jugement… Pour aller vers une intention de qualité de relation qui favorise la coopération, exercer mon pourvoir AVEC. Redonner de la joie, de l’espace, du temps au dialogue: de soi à soi ou de soi à l’autre.

Dans ton journal ou l’espace que tu t’ai créé (cela peut être un enregistrement, des papiers dans une boîte, un-e ami-e qui recueille, …) tu vas maintenant décrire ce qui c’est passé.

Tu peux écrire les faits: Il c’est passé ceci, cela…

Donner des références temporelles, de lieu: A tel endroit… A tel moment…

Citer les mots, les phrases: il a été dit « … », J’ai dit « … » il/elle a dit « …

Les phrases qui peuvent t’aider:

Lorsque je vois, j’entends, j’observe… ou au passé, j’ai vu…

A toi de jouer… Et n’hésites pas à me faire le retour de tes expériences ce mois-ci!!.

Je te raconterais la suite du processus à une autre occasion. Restes connecté ici en t’abonnant à l’info-lettre.

Iza.

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